Ce n’est qu’assez tard dans l’après-midi que nous contemplons les lumières de Bastia. Son nom vient de la bastille qui la domine. Le lieu de rendez-vous est sans conteste la place Saint Nicolas (300 m L et 90 l) entourée de petites terrasses. Un kiosque à musique en fonte trône en son milieu et histoire oblige, une statue de Napoléon premier en empereur romain et un monument aux morts complètent la place.
Quel beau spectacle que cette ville éclairée de milles feux qui se reflètent dans la mer.
La ville se caractérise par ses rues étroites, ses hautes maisons avec leurs volets peints.
Mais vous ne pouvez manquer le vieux port qui est l’endroit idéal pour se balader ou manger une spécialité du pays dans l’un des nombreux petits restaurants qui font le tour de cet endroit. L’église de Saint Jean Baptiste domine les maisons et le vieux port.
Malheureusement nous avons eu trop peu de temps pour visiter les nombreux points d’intérêts de la ville et de ses environs.

De ce séjour, décidemment beaucoup trop court, nous avons fait diverses découvertes qui nous laissent un goût de trop peu, mais surtout l’envie de revenir sur cette île fabuleuse et d’y séjourner plus longtemps.
Mais il n’y a pas que l’histoire, les amoureux de sports trouveront ici de quoi satisfaire tous leurs désirs : du ski à la plongée sous-marine en passant par la randonnée.

Nous prendrons le retour vers la Belgique avec Air Corsica et cette fois à partir de l’aéroport de Bastia, encore une facilité : arrivée d’un côté de l’île et départ à l’autre extrémité. Seul regret, les vols ne circulent plus de fin septembre à fin mars, mais nous ne doutons pas que l’intérêt manifesté par les belges ne décide les responsables de la ligne à augmenter le trafic.

Mireille de Maersschalck